Retour sur le sort réservé aux personnes âgées en EHPAD lors du premier confinement en 2020
Je vous invite à vous inscrire à la newsletter de ce blog, ce qui vous permettra aussi de recevoir le livret essentiel de C.W. Leadbeater, "À ceux qui pleurent" : Cliquez ici pour télécharger le livret
Si vous ne l'avez pas déjà fait, inscrivez-vous à la newsletter de ce blog, ce qui vous permettra aussi de recevoir le livret essentiel de C.W. Leadbeater, "À ceux qui pleurent" : Cliquez ici pour télécharger le livret
Voici une vidéo d’un entretien entre Fabrice Midal et Marie de Hennezel, vidéo publiée le 22 novembre 2020.
On pourrait se livrer à un exercice en visionnant cette vidéo : qu'est-ce qui changerait, dans notre manière d'aborder les différents points soulevés dans cet entretien, si l'on avait la certitude que la vie se poursuit au-delà de la mort du corps physique, et donc en particulier la vie de chaque personne décédée en EHPAD lors du premier confinement ?
Comment imagine-t-on la vie de chaque trépassé dans l'au-delà après avoir vécu son passage dans les conditions singulières du confinement en EHPAD ?
Par ailleurs, comme vous l’avez lu dans l’infolettre, Yves Rasir cite le philosophe et mathématicien Olivier Rey, et ses propos sur L’idolâtrie de la vie, titre de son ouvrage paru en 2020.
Voici une vidéo d’entretien avec Olivier Rey, publiée en juillet 2020, où il précise dès les premières minutes ce qu’il faut entendre par vie, et dans quel sens il convient d’entendre le mot vie quand on parle d’idolâtrie de la vie.
» La vie dont je parle dans L’idolâtrie de la vie, c’est une vie entendue en un sens particulier. C’est à dire, en fait, ce que Walter Benjamin appelait la vie nue, le simple fait d’être en vie « .
Olivier Rey
Olivier Rey nous explique dans cet entretien que le sens du mot vie a beaucoup évolué ; depuis la fin du XVIIIe siècle, le mot s’est restreint à un ensemble de fonctions physiologiques en usage entre la naissance et la mort. Il y a eu un déplacement du sacré de la Vie considérée comme principe primordial au seul domaine restreint de la vie physiologique. » Et l’idolâtrie, c’est placer du sacré là où ce n’est pas vraiment justifié « .
P.S. 1 : il semble que les guillemets soient entrés en rébellion, puisqu’ils s’affichent à l’envers…
P.S. 2 : si vous avez apprécié l’édito d’Yves Rasir que j’ai repris dans mon infolettre du 26.1.2022, je vous suggère de découvrir la revue Néosanté dont il est le directeur de publication et rédacteur en chef, en commençant par son infolettre Requiem pour la surmortalité