Arthur Powell - Le corps astral

Mort et sommeil : la vie astrale durant le sommeil

Cause réelle du sommeil

La cause réelle du sommeil semble être le fait que les différents corps se fatiguent l’un de l’autre.

Dans le cas du corps physique, non seulement tout effort musculaire, mais encore tout sentiment et toute pensée produisent de légères modifications chimiques. Un corps bonne santé est toujours en train de s’efforcer de contrebalancer ces modifications, mais il ne peut jamais y réussir complètement pendant que le corps est éveillé. Par suite, chaque pensée, sentiment ou action est accompagné d’une perte légère, presque imperceptible, et l’accumulation de tels effets peut fatiguer le corps physique à un tel point qu’il soit incapable de continuer à penser ou à agir. Dans certains cas, quelques instants de sommeil suffisent pour récupérer, ceci étant effectué par l’élémental physique.

Fatigue du corps astral ?

En ce qui concerne le corps astral, il est très vite fatigué par le dur travail de faire mouvoir les particules du cerveau physique, et il a besoin d’une séparation assez longue pour reprendre des forces et pouvoir recommencer son pénible labeur.

Sur son propre plan, le corps astral est pratiquement incapable de fatigue et l’on connaît un cas où il a travaillé sans arrêt pendant 25 ans sans manifester le moindre signe de lassitude.

Une émotion excessive et de longue durée fatigue l’homme énormément dans la vie ordinaire, mais ce n’est pas le corps astral, c’est l’organisme physique à travers lequel s’exprime l’émotion qui devient fatigué.

Il en est de même pour le corps mental. Quand nous parlons de fatigue mentale, nous employons une expression incorrecte ; car c’est le cerveau et non l’esprit qui est fatigué. Il n’existe rien qui ressemble à de la fatigue pour l’esprit.

Établissement d’une contrepartie astrale temporaire

Quand un homme quitte son corps pendant le sommeil ou à sa mort, la pression de la matière ambiante – qui est en réalité la force de gravité sur le plan astral – fait entrer immédiatement d’autres matières astrales dans l’espace vide. Une telle contrepartie astrale est une copie exacte du corps physique en ce qui concerne sa forme, mais elle n’a aucune liaison avec lui et ne pourrait pas être employée comme véhicule. C’est tout simplement un rassemblement fortuit de particules empruntées à la matière astrale du genre convenable qui se trouve dans l’ambiance. Quand le véritable corps astral revient, il expulse cette matière sans éprouver la moindre résistance.

Ceci est une raison pour laquelle le plus grand soin doit être apporté dans le choix d’un endroit pour dormir, car si l’ambiance est mauvaise, le corps physique sera rempli de matière astrale indésirable pendant l’absence du corps astral, et ce fait ne peut avoir que des conséquences désagréables pour l’homme véritable à son retour.

Quand un homme s’endort, ses principes supérieurs se retirent du corps physique avec le véhicule astral ; le corps dense et le corps éthérique restent sur le lit, et le corps astral flotte dans l’air au-dessus d’eux. Pendant le sommeil, l’homme emploie son corps astral au lieu du corps physique. C’est seulement le corps physique qui est endormi, mais pas nécessairement l’homme lui-même.

Habituellement, le corps astral séparé du corps physique conserve la forme de celui-ci, de sorte que la personne est facilement reconnaissable par toute autre qui la connaît physiquement. Ceci est dû au fait que l’attraction entre les particules physiques et astrales, qui dure pendant toute la vie physique, met en jeu dans la matière astrale des forces qui continuent à agir quand celle-ci est momentanément séparée du corps physique endormi.

Pour cette raison le corps astral d’un homme endormi se compose d’une partie centrale relativement dense qui correspond au corps physique, et d’une aura plus ténue entourant la partie centrale.

Sommeil d’une personne très peu développée

Dans le cas d’un homme très peu développé […], il peut être presque aussi endormi dans son corps astral que le corps physique, car il n’est capable dans ce véhicule que d’un minimum de conscience. Il est incapable de s’éloigner du corps physique endormi, et si quelqu’un d’autre essayait de l’éloigner dans son corps astral, il se réveillerait probablement aussitôt dans son corps physique, en proie à une grande terreur.

Son corps astral est une masse presque informe, un nuage vaguement ovoïde, de contour irrégulier et mal défini. Les caractéristiques et la forme de la partie intérieure (la contrepartie dense du corps physique), sont aussi vagues et indistinctes ; l’ensemble est obscur, mais toujours reconnaissable.

Un homme de ce type primitif emploie son corps astral, pendant la conscience de veille, pour transmettre des courants de pensée au cerveau physique. Mais quand, durant le sommeil, le cerveau physique est inactif, le corps astral, non développé, est incapable de recevoir des impressions pour son propre compte, et ainsi, l’homme est pratiquement inconscient, étant incapable de s’exprimer lui-même clairement à travers ce corps astral pauvrement organisé. Les centres de sensation qu’il contient peuvent être affectés par des formes-pensées, et il peut réagir à des stimuli qui atteignent la nature inférieure. Mais l’impression produite sur l’observateur est celle du sommeil, le corps astral n’ayant aucune activité définie, et flottant paresseusement au-dessus de la forme physique endormie.

Chez une personne non évoluée, les principes supérieurs, c’est-à-dire l’homme lui-même, sont donc presque aussi endormis que le corps physique.

Dans certains cas, le corps astral est moins léthargique, et il flotte rêveusement au gré des divers courants astraux, reconnaissant éventuellement d’autres personnes dans une situation analogue et, faisant des expériences de toutes sortes – plaisantes ou déplaisantes – dont le souvenir confus et souvent transformé en une grotesque caricature des événements véritables, il fera penser à l’individu le lendemain matin qu’il vient d’avoir un rêve remarquable.

Sommeil d’une personne plus développée

Dans le cas d’un homme plus développé, il y a une très grande différence. La forme intérieure est beaucoup plus distincte et définie – c’est une reproduction plus exacte de l’apparence physique de l’homme. Au lieu du brouillard précédent, il y a un corps ovoïde bien défini qui conserve sa forme au milieu des courants parmi lesquels elle se met dans le monde astral.

Un homme de ce type n’est nullement inconscient dans son corps astral, mais, au contraire, il pense très activement. Pourtant, il se peut qu’il ne fasse guère plus attention à ce qui l’entoure que l’homme très peu développé. Et cela non pas parce qu’il est incapable de voir, mais parce qu’il est si absorbé dans ses propres pensées qu’il ne voit rien. Quelles que puissent être ses pensées du jour passé, il les continue quand il s’endort, et il est entouré d’un mur si dense de sa construction, qu’il n’observe pratiquement rien de ce qui se passe à l’extérieur. Occasionnellement, un impact violent provenant de l’extérieur, ou quelque désir puissant provenant de lui-même déchire le rideau de brouillard et lui permet de recevoir une impression définie. Mais même dans ce cas, le rideau se referme aussitôt et il continue à rêver sans rien voir comme auparavant.

Sommeil d’une personne gardant toute sa conscience

Dans le cas d’un homme encore plus développé, lorsque le corps physique s’endort, le corps astral s’en échappe et l’homme a toute sa conscience. Le corps astral possède un contour bien défini et il est très organisé ; il a l’apparence de l’homme physique, et l’homme peut s’en servir comme d’un véhicule, un véhicule beaucoup plus commode que le corps physique. La réceptivité du corps astral a augmenté, et il réagit instantanément à toutes les vibrations de son plan, les plus subtiles et les plus grossières. Mais dans le corps astral d’un homme très avancé, il n’y aurait évidemment aucun type de matière capable de réagir aux vibrations grossières.

Un tel homme est totalement éveillé, et il travaille plus activement, mieux et avec une compréhension plus grande que lorsqu’il était confiné dans son corps physique. De plus, il peut se déplacer librement et avec une énorme rapidité à toutes les distances, sans causer le moindre trouble au corps physique endormi.

Il peut rencontrer des amis, incarnés ou désincarnés, échanger des idées avec eux, s’ils sont aussi éveillés sur le plan astral. Il peut rencontrer des gens plus évolués que lui-même, et recevoir d’eux des avertissements ou des enseignements ; il peut aussi être amené à aider ceux qui en savent moins long que lui. Il peut venir en contact avec des entités non humaines de diverses sortes […]; enfin, il est sujet à toutes sortes d’influence astrales, bonnes ou mauvaises, réconfortantes ou déprimantes.

Il peut se lier d’amitié avec des gens qui habitent d’autres parties du monde ; il peut assister à des conférences ou en faire ; s’il est un étudiant, il peut en rencontrer d’autres, et, avec les facultés supplémentaires qui sont à sa disposition dans le monde astral, il peut résoudre des problèmes qui présentent de grosses difficultés dans le monde physique.

Un médecin par exemple peut, durant le sommeil du corps, visiter des cas qui l’intéressent particulièrement. Il peut ainsi acquérir des renseignements nouveaux qui atteindront sa conscience de veille comme une sorte d’intuition.

Photo Denys Nevozhai Unsplash

Puissance et acuité des émotions sur le plan astral

Chez un homme hautement évolué, le corps astral étant parfaitement organisé et vitalisé, devient le véhicule de la conscience sur le plan astral, au même titre que le corps physique sur le plan physique. Le monde astral étant la patrie de la passion et de l’émotion, les personnes qui s’abandonnent à une émotion peuvent l’expérimenter avec une puissance et une acuité qui sont heureusement inconnues sur le plan physique.

Tandis que dans le corps physique, la plus grande partie de l’énergie est dépensée par la transmission au plan physique, dans le monde astral, tout est disponible.

Par suite, il est possible dans le monde astral, d’éprouver une affection ou une dévotion beaucoup plus intense que dans le monde physique ; de même l’intensité des souffrances possibles dans le monde astral est inimaginable dans la vie physique ordinaire.

L’avantage de cet état de choses est que dans le monde astral toute souffrance est volontaire et absolument sous le contrôle de l’individu. Par suite, la vie y est beaucoup plus facile pour l’homme qui comprend. Maîtriser une douleur physique par l’esprit est possible, mais extrêmement difficile, tandis que dans le monde astral, tout le monde peut en un instant supprimer la souffrance causée par une forte émotion.

L’homme n’a qu’à vouloir, et la passion disparaît immédiatement. Cette assertion peut sembler étrange, elle est cependant vraie, tel est le pouvoir de la volonté et de l’esprit sur la matière.

La volonté peut stimuler le corps astral sans l’intermédiaire du corps physique

La difficulté que les personnes ordinaires ont à vaincre n’est pas l’impuissance du corps astral à fonctionner correctement, mais l’habitude prise depuis des milliers d’années de n’être mis en mouvement que par des impressions reçues à travers le véhicule physique, de sorte que ces gens ne comprennent pas que le corps astral peut travailler sur son propre plan et pour son propre compte, et que la volonté peut agir sur lui directement. Les gens « ne s’éveillent pas » astralement parce qu’ils ont l’habitude d’attendre les vibrations physiques familières pour mettre en jeu l’activité astrale. Par suite, on peut dire qu’ils sont éveillés dans leur corps astral mais non sur le plan astral, et ils ne sont conscients de leur ambiance que très vaguement, si même ils le sont.

Quand un homme devient l’élève d’un Maître, il est généralement tout d’abord secoué de sa torpeur sur le plan astral, pleinement éveillé aux réalités qui l’entourent sur ce plan, puis il se met à étudier et à travailler dans ce nouveau milieu, de sorte que ses heures de sommeil ne sont plus un vide, mais elles sont remplies par des occupations actives et utiles, sans qu’il en résulte la moindre gêne pour le repos du corps physique fatigué. […]

S’endormir avec l’intention ferme d’accomplir un certain travail hors du corps physique

Même avant d’avoir atteint ce stade, beaucoup de travail utile peut être et est réellement fait. Un homme qui s’endort avec l’intention bien définie de faire un certain travail, s’efforcera très certainement de le faire dès qu’il sera libéré de son corps physique endormi. Mais quand le travail est terminé, il est probable que le brouillard de ses propres pensées centrées sur lui-même se refermera sur lui une fois de plus, à moins qu’il se soit habitué à entreprendre de nouvelles activités lorsqu’il fonctionne en dehors du cerveau physique. Dans certains cas, le travail choisi occupe la totalité du temps consacré au sommeil, de sorte que l’homme s’exerce le plus possible, autant que son développement astral le permet.

Chacun de nous devrait prendre chaque soir la résolution de faire quelque chose d’utile sur le plan astral : réconforter quelqu’un qui est dans la peine, utiliser sa volonté pour infuser de la force à un ami qui est affaibli ou malade, calmer une personne excitée ou hystérique, ou rendre quelque service analogue.

Il est absolument certain qu’un résultat est obtenu, et si l’aidant observe attentivement, il aura souvent sur le plan physique des indications sur l’efficacité de son travail.

Il existe 4 manières suivant lesquelles un homme peut être éveillé à l’activité consciente dans son corps astral :

  1. Par la progression ordinaire de l’évolution qui, bien que lente, est sûre.
  2. Par l’homme lui-même qui, ayant appris ces choses, fait les efforts nécessaires pour dissiper le brouillard intérieur et surmonter graduellement l’inertie à laquelle il est habitué. Pour réaliser cela, l’homme doit prendre la résolution, avant de s’endormir, d’essayer de s’éveiller au moment où il quitte le corps, et de voir quelque chose ou de faire quelque travail utile. Ceci, évidemment n’est que hâter le cours naturel de l’évolution. Il est nécessaire que l’homme ait d’abord développé en lui le sens commun et les qualités morales, et ceci pour deux raisons : premièrement, il risquera moins de mésuser des pouvoirs qu’il pourra acquérir ; deuxièmement, il risquera moins d’être dominé par la peur en présence de forces qu’il ne peut ni comprendre ni maîtriser.
  3. Par quelque accident ou par l’usage de cérémonies magiques « interdites », il peut déchirer le voile de telle manière qu’il ne puisse plus se refermer complètement. Un exemple de ce fait est donné dans A bewitched life [ Une vie envoûtée ], de H.P. Blavatsky. […]
  4. Un ami peut agir de l’extérieur sur l’enveloppe fermée qui entoure l’homme, et graduellement éveiller en lui des possibilités supérieures. Toutefois, cela ne doit être fait que si l’ami est bien sûr que l’homme qu’il va éveiller possède le courage, la dévotion et les autres qualifications nécessaires pour faire du travail utile.

Mais le besoin d’aide sur le plan astral est si grand que tout aspirant peut être bien certain qu’il n’y aura pas un jour de retard à son éveil dès qu’il sera reconnu apte.

Éveil d’un enfant sur le plan astral

Nous pouvons ajouter que quand un enfant est éveillé sur le plan astral, le développement du corps astral se fait si vite qu’il devient très rapidement sur ce plan presque l’égal de l’adulte éveillé, et qu’il est très en avance en ce qui concerne l’utilité, sur l’homme plus sage mais encore endormi.

Mais à moins que l’ego qui s’exprime dans ce corps d’enfant possède les qualifications nécessaires et qu’il les ait clairement manifestées dans sa vie précédente, aucun occultiste ne prendra la très sérieuse responsabilité de l’éveiller sur le plan astral. Quand il est possible d’éveiller les enfants de cette manière, il deviennent souvent les meilleurs travailleurs, sur le plan astral, et ils se lancent dans le travail avec une dévotion absolue qui est très belle à voir.

Unité de la vie pendant la veille et le sommeil

La vie pendant la veille et la vie pendant le sommeil sont donc une ; pendant le sommeil nous avons conscience de ce fait et nous possédons la mémoire continue des deux, c’est-à-dire que la mémoire astrale contient la mémoire physique. Mais cette dernière ne contient pas toujours la mémoire des expériences astrales. […]

Atteindre la pleine conscience dans le corps astral signifie avoir fait de très gros progrès ; quand un homme a, de plus, réussi à jeter un pont sur le gouffre qui sépare la conscience astrale et la conscience physique, jours et nuits n’existent plus pour lui, car il mène une vie dont la continuité n’est pas interrompue. Pour un tel homme, même la mort, au sens ordinaire du mot, a cessé d’exister, car il conserve cette conscience ininterrompue non seulement à travers jours et nuits, mais aussi à travers les portes de la mort, et cela jusqu’à la fin de sa vie sur le plan astral […].

Continuité ou discontinuité de conscience entre veille et vie astrale dans le sommeil

La conscience et l’activité dans le corps astral sont un fait ; la mémoire dans le cerveau de cette conscience et de cette activité astrales est une question toute différente.

L’existence ou l’absence de mémoire physique n’affecte en rien la conscience sur le plan astral, pas plus que cela n’affecte l’aptitude à fonctionner librement dans le corps astral. Il est non seulement possible, mais très fréquent pour l’homme de fonctionner librement et utilement dans son corps astral pendant le sommeil du corps physique, et de revenir à celui-ci sans la moindre trace de mémoire du travail astral en cours.

La discontinuité de conscience entre les vies physique et astrale est due soit au manque de développement du corps astral, soit au manque du lien éthérique convenable entre le corps astral et le corps physique dense.

Ce lien est formé par un tissu à texture serrée en matière atomique, à travers lequel les vibrations doivent passer et qui détermine la continuité ou non entre le sommeil et la veille. Le seul moyen d’amener la mémoire de la vie astrale au cerveau physique est le développement suffisant du corps astral et l’éveil des chakras éthériques dont l’une des fonctions est la transmission des forces du niveau astral au niveau éthérique.

Quelquefois, lors du réveil, on éprouve la sensation d’avoir fait des expériences dont aucune mémoire ne reste. Ceci veut dire qu’il y a eu conscience astrale malgré que le cerveau ne soit pas suffisamment réceptif pour enregistrer la mémoire. D’autres fois, l’homme, dans son corps astral, peut réussir à faire une impression temporaire sur le double éthérique et le corps dense, qui se transforme en mémoire de la vie astrale. […]

L’homme peut ainsi réussir à communiquer des connaissances nouvelles au cerveau physique, sans être capable d’y joindre la mémoire du lieu où cette connaissance fut obtenue ni de la manière dont elle le fut. Les exemples de cela sont très fréquents : la solution d’un problème difficile surgit brusquement dans la conscience, ou bien la lumière apparaît soudain sur une question obscure. De tels cas indiquent les progrès réalisés dans l’organisation et le fonctionnement du corps astral, tandis que le corps physique reste partiellement réceptif.

Dans le cas où le cerveau physique réagit, l’homme a des rêves précis, raisonnables et cohérents comme il arrive de temps en temps à beaucoup de gens.

Mais peu de gens, lorsqu’ils fonctionnent dans leur corps astral, s’inquiètent de savoir si le cerveau physique se souviendra ou non, et neuf sur dix n’aiment pas retourner dans le corps physique. Le retour dans le corps physique donne une impression de contrainte, comme l’enveloppement dans un manteau épais et lourd. La joie de la vie sur le plan astral est si grande que la vie physique, par comparaison, ne semble pas même être une vie.

Beaucoup de gens considèrent le retour quotidien dans le corps physique comme la plupart des employés de bureau considèrent leur travail; Ils n’en sont pas positivement dégoûtés, mais il ne le feraient pas s’il n’y était pas forcés.

Arthur E. Powell, Le corps astral, Ed. Adyar, pp. 99-112, extraits choisis


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