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La vie après la mort : voici pourquoi vous persistez à la nier (2/2)

Trente raisons pour lesquelles les preuves de la vie après la mort sont ignorées ou rejetées

Trente raisons pour lesquelles les preuves de la vie après la mort sont ignorées ou rejetées (16-30)

 

Alors, la vie après la mort, vous persistez à la nier ?

Lisez cet article qui énonce les raisons 16 à 30 pour lesquelles, selon Michael Tymn, la vie après la mort a encore des détracteurs, et vous verrez que votre opinion ne tient pas debout…

[Commencez d’abord par lire la première partie, qui présente les raisons 1 à 15, si vous ne l’avez pas déjà lue]

 

Cet article est une traduction d’un texte de Michael Tymn, journaliste depuis plus de 50 ans pour différentes revues américaines de spiritualité et d’études de parapsychologie, auteur de plusieurs ouvrages et de plus de 1600 articles, ainsi que rédacteur en chef  du Journal pour l’Étude de la Conscience et de l’Esprit  [Journal for Spiritual and Consciousness Studies] et de « The Searchlight », publications de l’Académie pour l’Étude de la Conscience et de l’Esprit.

 

Si vous n’avez pas encore lu la première partie, vous pouvez la lire ici

 

16. Le subconscient itinérant

Un bon nombre de pionniers de la recherche psychique en sont venus à croire en la réalité des phénomènes métapsychiques mais sont restés sceptiques sur les questions de la survivance de l’esprit ou de l’âme.

Ils ont émis l’hypothèse qu’une « personnalité secondaire » enfouie dans le subconscient du médium captait télépathiquement les pensées des personnes présentes lors d’une séance de médiumnité collective, les traitait d’une manière ou d’une autre et communiquait intelligemment les informations comme si elles provenaient d’une personne décédée.

La survenue de cas où l’information captée était ignorée des membres de l’assistance a conduit les chercheurs à supposer que le médium pouvait accéder à l’esprit de n’importe qui dans le monde.

Comme cela n’expliquait pas tout, ils ont également supposé qu’il existait une sorte de « réservoir cosmique » à partir duquel le subconscient du médium pouvait accéder à l’information.

Plus tard, les chercheurs ont tout rassemblé et ont appelé ça l’hypothèse superpsi. Mais les chercheurs les plus expérimentés ont conclu qu’il y avait trop de personnalité et trop de volonté pour qu’il puisse s’agir d’autre chose que d’une communication avec l’esprit d’un défunt.

De plus, les chercheurs pionniers ne voyaient aucune raison logique pour que ces soi-disant personnalités secondaires de médiums de différents continents se fassent toutes passer pour des esprits des morts et ils ne voyaient pas comment elles auraient pu toutes collaborer à cette tromperie mondiale.

 

17. L’effet mouton-chèvre

Les débuts de l’histoire de la médiumnité indiquent clairement un besoin d’harmonie dans les milieux médiumniques.

Afin de produire des phénomènes, on pensait que les esprits exigeaient que le médium soit dans un état passif, un état apparemment mieux atteint par la musique et la prière.

Certains médiums pouvaient atteindre l’état passif en une minute ou deux, mais il y avait des moments où il fallait une heure ou plus pour que quelque chose se produise et il y eut de nombreuses fois où une médium éprouvée ne put tout simplement pas produire du tout […] parce que les conditions n’étaient pas bonnes ou que trop de tension nerveuse la retenait.

De plus, la négativité des observateurs avait compromis les bons résultats. Certains observateurs qui n’avaient rien obtenu lors des mauvaises nuits de la médium la considérèrent comme un imposteur et tout porte à croire que de nombreux vrais médiums furent ainsi dénigrés. Les chercheurs parlent maintenant de l’hypothèse mouton-chèvre, selon laquelle les croyants (moutons) au psi obtiennent des résultats tandis que les non-croyants (chèvres) reviennent bredouilles.

 

 

18. L’extravagance de la médiumnité physique

La majeure partie de la médiumnité physique semblait si étrange qu’elle dépassait le seuil d’acceptation de presque tout le monde. Certaines matérialisations ressemblaient à des mannequins ou des pantins, d’autres étaient plates, d’autres encore ne ressemblaient pas à la personne qu’elles prétendaient être. Souvent, il n’y avait qu’un visage ou une main en miniature. Le fait que la plupart des médiums exigeaient l’obscurité ajoutait à la croyance que tout cela était frauduleux.

Même parmi les chercheurs qui ont accepté la médiumnité mental, nombre d’entre eux ont eu du mal à accepter la médiumnité physique. Mais ceux qui s’y sont tenus assez longtemps ont fini par voir les manifestations défectueuses comme étant le résultat d’une projection de pensée imparfaite ou incomplète du monde des esprits, ou de l’incapacité du médium à mettre oeuvre la force nécessaire à produire l’ectoplasme.

 

 

19. Trop de charabia

Même avec le meilleur des médiums, il y avait beaucoup de flou et d’ambiguïté, voire de charabia, dans la communication. Les sceptiques considéraient tout cela comme la preuve que les soi-disant médiums étaient des charlatans, car ils supposaient que si les esprits existent vraiment, ils devraient pouvoir communiquer d’une manière beaucoup plus intelligente et efficace.

Mais, comme les chercheurs les plus expérimentés ont pu le comprendre, le subconscient du médium est un facteur déformant pour le message filtré par son cerveau. Ils ont également conclu que les esprits eux-mêmes sont limités dans leur capacité à communiquer efficacement et qu’il faut beaucoup de pratique de leur côté, outre le développement de notre côté  [du côté des médiums]. La communication s’est faite en grande partie par projection de pensée et symbolisme, ce qui a donné lieu à différentes interprétations. Il semblerait que des esprits de bas niveau se soient souvent impliqués et aient complètement brouillé la communication.

 

 

20. L’erreur de bifurcation

Parfois, le supposé communicateur désincarné s’est avéré être en vie, ce qui semble être une preuve évidente, pour le démystificateur, que le médium était un charlatan.

Cependant, les recherches suggèrent que les humains vivants sont capables de voyager hors de leur corps, souvent pendant leur sommeil, et corroborent en outre la communication télépathique entre humains. Dans l’étude des expériences de mort provisoire (EMI-NDE), les démystificateurs affirment que des expériences similaires peuvent être vécues sous LSD et autres drogues, rejetant complètement l’idée que la bifurcation de l’esprit (âme) et du corps (cerveau) ne se limite pas à la mort ou à une expérience de mort provisoire.

 

 

21. Les banalités

Nombre des premiers chercheurs, dont William James, se sont demandés pourquoi une si grande partie de ce qui transitait par les médiums était d’une nature aussi triviale, comme ce qui est arrivé à la montre de l’oncle George ou l’emplacement d’une tache de naissance.

Pourquoi n’ont-ils pas parlé de la nature de la réalité, de ce qu’elle est de leur côté du voile, etc. ? Le fait est que la plupart des premières communications abordaient des sujets plus profonds.

Les écrits du juge John Edmonds, du Dr George Dexter, du professeur Robert Hare, de l’éducateur Allan Kardec et du révérend William Stainton Moses offraient des rapports très complets sur la réalité la plus vaste, mais ils n’étaient pas probants et une grande partie de ces écrits, selon les esprits qui les rapportaient, dépassaient le vocabulaire et la compréhension humaine. C’est le message trivial qui était probant et sur lequel la Society for Psychical Research [Société pour la Recherche Psychique] s’est concentrée à partir de 1882.

 

 

22. Le mythe de l’omniscience

L’hypothèse populaire semble être que les esprits, s’ils existent, sont tous égaux dans le « ciel » de la religion orthodoxe, et qu’ils sont « omniscients » et donc qu’ils devraient tous être d’accord les uns avec les autres.

Le fait qu’ils soient en désaccord sur certains points, en particulier sur le sujet de la réincarnation, suggère une fraude. Cependant, comme les chercheurs pionniers ont pu le comprendre, les esprits sont à des niveaux d’avancement différents, certains n’en sachant pas plus aujourd’hui que lorsqu’ils vivaient dans la chair.

De plus, les esprits de bas niveau trouvent qu’il est plus facile de communiquer avec nous parce qu’ils sont vibratoirement plus proches des humains que les esprits avancés. Aux niveaux les plus bas, les esprits ne se rendent apparemment pas compte du peu qu’ils savent et donnent donc souvent des informations erronées. On peut comparer cela à un extraterrestre d’une autre planète qui atterrirait dans les jungles de Nouvelle-Guinée et qui rapporterait chez lui que les terriens sont tous très primitifs dans leurs manières.

 

 

23. Différents degrés d’aptitude

Comme pour la plupart des dons ou des talents, les capacités médiumniques se présentent à des degrés divers.

Dans la médiumnité physique, certains étaient assez forts pour produire des manifestations sous une bonne lumière et d’autres sous une lumière rouge, mais la majorité avait besoin de l’obscurité, car la lumière affectait la force ou l’ectoplasme exsudé par le médium et pouvait être nuisible.

Les chercheurs voués à la démystification du médium ont vu dans l’obscurité un moyen de dissimuler la fraude, estimant que si un médium pouvait produire dans des conditions de lumière, tous devraient pouvoir le faire, de même que si au moins un médium était capable de produire une matérialisation complète, alors tous devraient être capables de le faire.

 

 

24. Des attentes de sainteté

Nombreux sont ceux qui pensaient que les médiums devaient être des personnes particulièrement saintes, des candidats à la sainteté. Or, ce n’était pas le cas. La plupart d’entre eux avaient une religiosité très courante et beaucoup d’entre eux se faisaient payer leur séance, ce qui était considéré comme sacrilège. Tout indique qu’il n’y a pas de corrélation positive significative entre la spiritualité et la capacité médiumnique. […]

 

 

25. Omissions et distorsions historiques

Une grande partie des premiers phénomènes physiques a été enregistrée à la suite des observations et a donc manqué de détails, laissant de nombreuses questions sans réponse.

Alors que la plupart des phénomènes mentaux étaient enregistrés en sténographie, les rapports étaient souvent abrégés ou très condensés afin d’éviter le verbiage superflu et la lecture fastidieuse. En outre, les chercheurs ont signalé que certaines des meilleures preuves étaient trop personnelles pour être documentées.

Il en va de même, dans une certaine mesure, pour les recherches plus récentes. Le résultat net est qu’une grande partie des rapports est soumise aux intérêts et aux préjugés des chercheurs. Les résumés de deuxième, troisième et même quatrième main des recherches effectuées au fil du temps par des historiens et des pseudo-historiens abrègent et déforment encore plus la recherche originelle.

C’est ce que l’on observe souvent aujourd’hui dans diverses références en ligne, en particulier sur Wikipédia, la principale référence pour beaucoup de gens.

 

 

26. Recherche recentrée

Les recherches psychiques étant en conflit avec la science matérialiste, ces recherches ont été peu soutenues et financées. Alors que les pionniers de la recherche psychique s’éteignaient, peu se sont présentés pour les remplacer. De plus, la recherche psychique semble avoir atteint un point de rendement décroissant et a été remplacée dans les années 1930 par le domaine appelé parapsychologie. Afin d’attirer des fonds, les parapsychologues ont évité les questions de survie et d’esprit, en se concentrant sur la perception extrasensorielle et la psychokinèse. Associer de tels phénomènes paranormaux à la survie était et est toujours considéré comme un suicide professionnel.

 

 

27. Machisme

Divers livres d’histoire suggèrent que les hommes d’il y a un siècle considéraient les croyances spirituelles comme une « chose de femme ».

Les hommes fumaient des cigares, buvaient du whisky, faisaient la guerre, gouvernaient des pays et géraient des entreprises. La religion avait été mise en accusation et il valait mieux laisser aux dames les rêveries les plus folles comme les esprits et les anges.La vie après la mort d’un individu du sexe fort était l’héritage de ses accomplissements terrestres et on attendait de lui qu’il accueille son extinction stoïquement.

Si les femmes ont considérablement réduit l’écart entre les sexes depuis l’époque victorienne, le machisme semble toujours jouer un rôle dans les croyances spirituelles, car diverses enquêtes indiquent que les femmes sont généralement plus enclines que les hommes à croire en Dieu et en une vie après la mort.

 

 

28. Phénomènes de disparition

S’il existe encore des médiums qui produisent le même type de phénomènes que ceux observés par les pionniers de la recherche psychique, la quantité et la qualité de ces médiums semblent avoir considérablement diminué.

De nombreuses théories ont été avancées pour expliquer ce phénomène, mais la plus acceptée semble être que la technologie moderne a engendré trop de « bruit » dans le monde. Avant la radio, la télévision, les ordinateurs, les smartphones et autres, les gens avaient davantage de temps de tranquillité. Ils s’asseyaient autour des cheminées ou sous les porches et tricotaient ou sculptaient au couteau, étant plus ouverts aux états modifiés de conscience et à l’influence des esprits, tout en ayant plus de temps pour développer leur moi intérieur.

Au lieu de jouer avec leurs appareils la nuit, ils se réunissaient et expérimentaient le contact avec le monde des esprits. En outre, de nombreux médiums de transe ont découvert leur don après une maladie grave, parfois à l’approche de la mort, tout comme les expérienceurs des NDE développent fréquemment des capacités psychiques.

Mais la science a éradiqué de nombreuses maladies parmi celles susceptibles de déclencher des capacités de transe.

 

 

29. L’idée préconçue de preuve absolue

Alors que le démystificateur et le profane exigent une « preuve absolue », les vrais scientifiques se rendent compte que la preuve est subjective et une question de certitude.

Les preuves développées dans la recherche psychique ne relèvent pas du domaine de la science pure ou exacte. Presque tous les phénomènes sont spontanés et ne sont pas susceptibles d’être reproduits.

Il s’agit davantage d’une science de « tribunal », donc davantage soumise à la norme de « prépondérance de la preuve », bien que certains diraient qu’elle va bien au-delà et qu’elle répond à la norme « au-delà du doute raisonnable ».

 

 

30. La nécessité du doute

Lorsque le grand Victor Hugo a demandé à un esprit pourquoi Dieu ne se révèle pas mieux, cette réponse est venue :

 » Parce que le doute est l’instrument qui forge l’esprit humain. Si le jour venait où l’esprit humain ne doutait plus, l’âme humaine s’envolerait et laisserait la charrue derrière elle, car elle aurait acquis des ailes. La terre serait en jachère. Maintenant, Dieu est le semeur et l’homme est le moissonneur. La semence céleste exige que le soc humain reste dans le sillon de la vie « .

En effet, la certitude absolue n’est pas dans notre intérêt.

 

 


 

Si vous souhaitez approfondir votre réflexion, je vous invite à lire cet autre article : La meilleure mort ? Celle du mauvais scepticisme

 


Alors, la vie après la mort, vous persistez à la nier ? Non !? En fait vous savez que c’est vrai, mais pas votre entourage ? Eh bien envoyez-lui cet article !

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